EVENEMENT | Réunion nationale de l’UNAFTC à Besançon

L’AFTC de Bourgogne Franche-Comté a le plaisir d’accueillir dans ses locaux bisontins, le 23 novembre prochain, le réseau national UNAFTC pour la Journée des Présidents et/ou administrateurs d’AFTC.

En effet, chaque automne, l’union organise la journée des présidents d’AFTC. Rencontre à ne pas manquer pour échanger avec ses pairs.

Cette année dans la continuité d’une volonté d’impliquer plus fortement les régions, cette journée se déroulera à Besançon avec le concours de :

• Robert Sangy Vice-Président de l’AFTC de Lyon, Vice Président de l’UNAFTC
• Alain Germain Président de l’AFTC Haute Savoie, administrateur de l’UNAFTC
• l’équipe de l’AFTC Bourgogne Franche Comté qui nous recevra.

Le thème qui sera développé est : « Retour d’expériences dans les réalisations des AFTC », celles de l’AFTC Bourgogne Franche Comté ouvriront les échanges sur d’autres expériences, les vôtres, qui enrichiront le débat.

ACTION | MOTION UNAFTC

Suite à l’Assemblée Générale 2013 de l’UNAFTC, les AFTC, les établissements, les services membres de l’UNAFTC, les GEM adhérents ont tous approuvés cette motion qui exprime à la fois les besoins et les attentes des personnes et de leurs proches, et les réponses à mettre en oeuvre pour que ces personnes cérébro-lésées puissent vivre dignement.

Nous demandons à l’Etat de respect ses engagements concernant la mise en oeuvre du programme d’actions en faveur des traumatisés crâniens publié le 8 février 2012.

Nous demandons un accompagnement par dispositif qui est la condition pour un accompagnement fluide et continu, nous demandons que les personnes puissent bénéficier d’un soutien adapté à chaque étape de leur parcours.

Nous demandons qu’un véritable statut de l’aidant familial soit créé afin de reconnaître leur rôle essentiel dans l’accompagnement et de les aider à faire face tandis qu’ils rencontrent des difficultés (vieillissement, épuisement, etc.)

Nous demandons la reconnaissance des coûts réels de la perte d’autonomie, des garanties de financement de la PCH et que celle-ci soit lissée annuellement afin d’aider véritablement les personnes et leurs proches, que l’Etat soit le garant d’une continuité de financement pour eux.

Nous demandons que les troubles du comportement soient également pris en compte afin de ne pas laisser le blessé et la famille dans le plus grand désarroi.

Nous demandons que les conséquences à long terme de la cérébro-lésion et des contraintes de prise en charge d’accompagnement qui en résultent soient enseignées, notamment en faculté de médecine.

Enfin, nous demandons que les parcours de vie souvent chaotiques des blessés soient étudiés pour en tirer tous les enseignements nécessaires.

Vous pouvez lire cette motion dans son intégralité ici.